Vous savez, il y a deux choses qui sont fascinantes entre toutes chez l'être humain : l'imagination, et la peur, et certaine fois, les deux se mélangent pour donner quelque chose d'exceptionnel !
"Les films d'horreur ?"
Hum... Non ! (Quand même un peu ^^) Ce sont les créatures fantastiques ! Et loin de me faire peur, elles me fascinent !
Déjà dans l'antiquité, on projetais ses peurs par des créatures toutes droit sorties des méandres de l'imagination, ainsi naquirent Charybde et Scylla, les grands monstres marins du détroit de Messine :

Plus tard, c'est en France que les peurs deviennent les plus réalisables, alors que des dizaines de personnes périssent étrangement naît la bête du Gévaudan, terrible loup-garou !
Mais lorsque l'on me parle de créature fantastique, l'une que je perçoit entre mille, malgré les géants, les sirènes, les momies, les sphinx, les chimères, les ph½nix, les trolls, les griffons, les farfadets, les lamias, les licornes, les vampires... Ce sont... Les dragons !
Le pouvoir que ces créatures possèdent est tel qu'elles donnèrent leur nom à de multiples armes ou techniques de combat, et qu'elles fascinent aujourd'hui encore la plupart des être sur Terre, jusqu'à être vénérées chez nos compères du soleil levant...
Peut-être est-ce leur allure fière, mais j'en ai des frissons.
Cela me fait me remémorer une chose, sans rapport quelconque avec ces esprits de la désolation...
Un petit texte de quand j'étais encore dans les Vosges...
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"Vampire" :
Elle me survolait de son corps frêle et froid,
Elle était la volupté l'essence et l'effroi,
Son souffle frais suscitait mes frissons emballés
Et sa peau douce, et blanche comme un flocon de neige,
Apaisait ces chaleurs sensationnelles.
La douceur de ses lèvres toutes chastes et données
Palpaient mon cou vif et affolé
Que mon sang infernal
Faisait battre en tambours lancinants ;
Ses mains palpaient mes côtes fragiles
Quand les miennes caressaient son corps dédaigneux,
Son corps subtil, délicat, duveteux,
Frissonnant, soupirant, gémissant ;
Ses jambes, lentement, remontaient vers mon torse,
Effleurant, excitant, tout ces nerfs innocents ;
Sa langue, ou la mienne, pénétrait en Pandore
Où envie et plaisir ne sont qu'une partie
Et remuaient en cadence leurs muscles sensibles.
Extase sa saveur suave et sapide
Quand son regard coule sur moi en larmes humides.
Son baiser s'arrête,
Le plaisir est ainsi :
Sa bouche, en mon cou, cherche un refuge, un abris,
Et quand elle entre en moi ses poignards embrasés
Et que ma vie s'en va goutte après goutte
Je m'offre à elle tout entier : mes desseins, mes envies,
Je lui offre mon amour, ce plaisir indécis,
Je lui lègue en cette nuit,
Sans regrets : par pure folie,
Tout ce sang qui coule en moi
Pour renaître en extase
Dans ce corps
Guérit de ma vie
Et qui me guérira
Par le Paradis !
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L'Irlande... N'est-ce pas ici le berceau des plus grand comptes de fée ?
Vivez un instant dans ces vastes plaines remplies de mystères...
"Rose Tatoo", de Dropkick Murphys :
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... Et je passe également le bonjour au Vosges dont je me languis un peu depuis que je suis en Meurthe-et-Moselle... Qui l'aurait cru u.u !
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"Lasciate ogne speranza, voi ch'intrate", Dante
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